Le plagiaire Alain Minc veut dézinguer Ségolène Royal
En ce moment, il est de bon ton de chercher à dénigrer Ségolène Royal. Par tous les moyens. Quoi de plus normal d’ailleurs avec ce que la présidente du Poitou-Charentes représente, dégage, son aura qui se déverse telle une bénédiction sur tous ceux qui tombent sur elle à bras raccourcis. Ils sont en tête de gondole dans tous les médias dont l’impartialité date de Mathusalem. Cette fois, c’est le plagiaire Alain Jacques Richard Minc dit Alain Minc, Condamné le 28 novembre 2001 pour plagiat pour son ouvrage intitulé “Spinoza, un roman juif“, dont le tribunal a statué qu’il était une contrefaçon partielle de l’ouvrage “Spinoza, ‘le masque de la sagesse’ “ de Patrick Rödel. Mais, son ami est passé outre cette condamnation pour contrefaçon l’élevant sans vergogne au rang d’officier de la Légion d’honneur six mois plus tard. Mais enfin, une médaille désormais de pacotille ou en chocolat.
L’autoproclamé ou plutôt le pseudo épigone de Keynes, soi-disant économiste médiatique qui se trompe toutes les fois, n’est pas prêt de s’arrêter, puisqu’il a le droit de dire tout et son contraire. Avec sa verve écolière, passant avec grâce du vitriol-pamphlet au aigre-doux, le sieur Minc estime pour lui, Ségolène Royal, “Elle est incapable de gouverner, mais c’est un animal électoral exceptionnel”. Entre elle et son ami Sarkozy, “l’écart des compétences s’est accru depuis 2007 : lui est dans un séminaire de doctorants de Harvard et elle dans un centre d’apprentissage à Niort”. C’est toujours les mêmes connivences, les mêmes complaisances qui accompagnent chaque sortie du nouveau roitelet de la pensée unique Alain Minc, agrégé ès art, docteur ès anti-Ségolène Royal, ami de 40 ans de Martine Aubry.
Les conseils politico-économiques du petit Alain -dans tous les sens du terme-, ne valent finalement rien, tant, le vide sidéral est à l’image du personnage, versatile. Amusez-vous à jouer au “avant/après” de ses déclarations, votre surprise sera immense. Le même homme, sans vergogne, peut vous déclarer : “La crise est derrière nous” une heure avant, et le même, deux heures plus tard vous dira : “La crise est devant nous”. Son côté positif car il en a aussi : il est fidèle en amitié. Tant mieux, il défend bec et ongles son ami qui a peur de Ségolène Royal comme la peste. 2012 n’est pas loin et il le sait, dont la multiplication d’attaques au ras des pâquerettes et de sondages sortis de derrière les fagots. Toujours sans objet réel. Le commissionnaire du CAC 40 est plus que jamais dans sa vacuité constante. A vouloir aujourd’hui dézinguer Ségolène Royal, il se trompe royalement. Le professeur en retournement de veste n’est pas à l’abri d’une surprise mais, sachez qu’il n’hésitera pas à chanter les louanges de celle qu’il tente de brûler aujourd’hui, si d’aventure….
Il n’est pas évident pour un homme qui « a plus de centimètres que de neurones » comme le brocardait jadis Bernard Maris, de penser. Il n’a aucune réflexion profonde et agit tel un psittacidé. Peut-on au juste avec Alain Minc parler de penser ? Certainement non. Il pense par onomatopées ce qui laisse finalement à désirer puisqu’il est perpétuellement dans la contradiction. D’une déclaration à l’autre, l’homme se déjuge et étrangement, les médias qui l’invitent à s’exprimer après ses forfaitures habituelles ne relèvent jamais les précédentes. Comment peut-on croire aux dires de cet homme ? Les connaissances livresques vu son pédigrée impressionnant ne sont finalement rien.
Il est parfois préférable de se taire. Mais, le ridicule ne tue pas. Hormis les connaissances immenses de cet homme, livresques surtout comme nous le mentionnions plus haut, il n’y a rien à se mettre sous la dent. D’une nullité abyssale, son parcours ici et là relève plutôt d’un échec retentissant. Tout ce qu’il touche étrangement se transforme en bouse. Ce qui est complètement paradoxal avec sa place médiatique. Quant à Ségolène Royal, son parcours acrobatique dans les branches de cette France plutôt misogyne -héritage latin-, il n’y a pas photo. Sa gestion du Poitou-Charentes n’est pas seulement salué en Hexagone, mais aussi à l’extérieur. Est-ce le cas de notre Alain ? Visiblement , non. Sur le plan international, à part quelques atermoiements, il est inconnu au bataillon.
Il est urgent de défaire Ségolène Royal. Mais, les porte-flingues de Nicolas Sarkozy, aussi minables qu’insignifiants qui se succèdent sur la scène avec leur glaive aiguisé qu’ils ne savent pas utiliser, ce n’est pas demain la veille. Entrés par effraction dans une lutte qui les dépasse, ils semblent défendre l’indéfendable alors que tout le monde voit bien comment la France coule à chaque minute chaque seconde. Ce n’est pas la faute de Ségolène Royal. Il n’y a qu’à s’arrêter un seul instant sur son exemple de Harvard. Faut-il lui dire que le président Sarkozy sait à peine dire bonjour en anglais ? Alors, comme peut-il se retrouver dans un séminaire de doctorants là-bas ? L’exemple en lui-même montre la peur, les troubles qui traversent la Sarkozye, de plus en plus aux abois…