Copé, Jégo, Fillon, Lefebvre, Darcos... les aboyeurs sont de sortie

Publié le par Désirs d'Avenir Castelnau-de-Médoc

Par l'équipe de Ségolène Royal

Copé, Jégo, Fillon, Lefebvre, Darcos… Les aboyeurs sont de sortie. « Folle », « psychotique », « délire quotidien ».

Ils sont la voix de leur maître dans cette concurrence de la vulgarité et du mépris. Les « fayots » font dans la surenchère pour gagner leur os à ronger.

Or, selon les spécialistes du règne animal, les chiens aboient lorsqu’ils ont peur ou lorsque ça leur fait mal. Les snipers en tir groupés, tirant à bout portant sur Ségolène Royal ne peuvent pas l’atteindre car son gilet pare-balles est très efficace : la détermination, la soif du respect des autres, la guerre contre l’injustice, le dégoût de toutes les impostures et la force de la vérité. Surtout les millions de sans voix, qui n’en peuvent plus de ce régime, et qui n’arrivent pas à se faire entendre.

Non, ils ne réussiront pas à la faire taire, malgré toutes les intimidations et les relais de réseaux médiatiques qui tronquent, relayent, déforment n’importe quoi.

Voyez le réseau type à l’œuvre : l’AFP (dirigée par le sarkozyste Pierre Louette, ancien membre du cabinet d’Edouard Balladur) envoie une fausse information sur « La honte d’être française » de Ségolène Royal. Information reprise en Une du Figaro, elle-même reprise dès le matin par Xavier Darcos dans un communiqué AFP… Boucle efficace mais ficelle tellement grosse !

Ah, on oubliait le commentaire scandaleux fait par Paris Match de sondages aux questions bizarres et la question posée par lefigaro.fr demandant à ses lecteurs si le PS devait sanctionner Ségolène Royal !!!

Défense de rire tellement c’est triste pour le débat démocratique. Il est vrai que pour de nombreux journalistes, ce n’est pas facile. Coups de fil du pouvoir, menace de contrôles fiscaux, intimidations, insinuations. Oui, c’est difficile pour eux surtout lorsque Nicolas Sarkozy en parle ainsi : « Les journalistes sont des nullards. Il faut leur cracher à la gueule, il faut leur marcher dessus, les écraser. Ce sont des bandits et encore : les bandits, eux, ont une morale. »

En conséquence, soyez vigilants sur l’information. Renseignez vous sur internet. Venez sur le site Désirs d’Avenir.

PS : La saga des attaques de la droite sur le problème des assistantes parlementaires, qui date de plus de dix ans, continue. Une suggestion : et si l'AFP qui est si prompte à relayer cette vieille affaire et pour laquelle sans doute une demie centaine de dépêches a déjà été publiée, prenait le soin, dans le cadre d'une information objective, de vérifier auprès des députés UMP comment ils payaient leurs assistants parlementaires à la même époque ? Etaient-ils payés par l'Assemblée nationale dans le cadre du préavis ou bien par un contrat spécifique relevant des comptes de campagne ? Quel organe de presse sera assez courageux pour faire la transparence sur cette question ? L'UMP croit tenir un bon filon, jusqu'au jour où un journaliste plus curieux que d'autres mènera une enquête sur le statut des assistantes parlementaires des députés de droite pendant les campagnes, notamment celle de 1997.

Publié dans Ségolène Royal

Pour être informé des derniers articles, inscrivez vous :
Commenter cet article